La gamme britannique Range Rover s’enrichit d’un turbo-diesel sur le marché. Si vous êtes un acheteur de véhicule utilitaire sport de luxe, alors vous devriez sérieusement considérer ce puissant moteur. Depuis 1970, Range Rover représente la ligne de SUV la plus élevée dans le giron de Land Rover, et se compose aujourd’hui de trois modèles, dont le Range Rover éponyme. Considérez Land Rover comme le gâteau et Range Rover comme la délicieuse couche épaisse de glaçage qui le nappe.
2016 Range Rover HSE
Un SUV Range Rover HSE td6 2016 était un visiteur récent et celui-ci était équipé d’un moteur V-6 turbo de 3,0 litres. Les nouveaux diesels ont la même cylindrée que les moteurs à essence V-6 suralimentés que vous trouverez dans de nombreux produits Jaguar et Land Rover. Bien que les diesels soient généralement plus lourds que leurs homologues à essence, le turbo-diesel est plus léger de 18 livres. De plus, les diesels sont presque aussi rapides, passant de 0 à 60 mph en 7,4 secondes, soit une demi-seconde de moins que l’équivalent à essence suralimenté. Voilà pour ce qui est de la faiblesse du moteur.
Mais là où le nouveau turbo-diesel brille le plus, c’est en matière d’économie de carburant. Le Range Rover est classé par l’EPA à 22 mpg en ville et 29 mpg sur l’autoroute, offrant une amélioration de 32 % de la consommation par rapport au modèle à essence. Ajoutez à cela le facteur de longévité des diesels et vous avez une raison de plus d’envisager cette option, surtout si vous prévoyez de garder votre Range Rover pendant longtemps.
Puissance robuste, surtout quand on en a besoin
Le Range Rover développe 254 chevaux, mais son couple de 443 livres-pieds devient évident dès le début et surtout lorsque vous dépassez une file de véhicules sur l’autoroute. Cette puissance permet une accélération hors pair et une exécution sur route exceptionnelle. Jumelé à une transmission automatique à 8 vitesses, le groupe motopropulseur pousse vers l’avant, imprégnant la confiance dans le conducteur.
Certaines personnes sont rebutées par le claquement du diesel, un timbre qui devient de plus en plus fort lorsque les températures baissent ou lorsque le régime augmente. Dans l’habitacle, cette tonalité n’était qu’un murmure. Placez-vous à califourchon sur l’avant lorsque le moteur tourne et sa tonalité rassurante s’impose. Ce qui est douteux, c’est que vous entendrez un jour un niveau de bruit égal à celui de la plupart des diesels d’antan ou au vacarme émanant des camionnettes de gros tonnage. Le silence est peut-être d’or, mais un claquement diesel même minime est rassurant.